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Message par Emilie Mer 25 Jan - 16:05

"Pour ceux qui ne connaissent pas encore l’histoire de Soma, on leur dira d’abord qu’il s’agit de quatre multi-instrumentistes chevronnés. On leur parlera aussi des 300 concerts accomplis depuis leur formation. Il faudrait aussi évoquer leur premier album paru en 2010, Jewel & The Orchestra, un condensé pop-rock ultra vitaminé. Affolant la presse rock dès sa sortie, il leur a valu d’être sélectionné par l’édition 2011 du FAIR. Sans oublier l’origine de leur nom, inspiré de la chanson des Smashing Pumpkins et du Meilleur des Mondes d’Aldous Huxley, où la population s’évade de son aliénation sociale grâce à une drogue salvatrice nommée… soma.

Enfin (et surtout ?), on ne saurait occulter cette histoire d’amitié tissée dès le lycée – source fondatrice et impérissable du groupe. Partager les mêmes goûts, les mêmes ambitions, le même sens des valeurs. Des musiciens qui ne s’adressent pas la parole en backstage, très peu pour eux. Même sur une grande scène de festival, Lionnel (guitare, chant), Sébastien (guitare), Thomas (batterie) et Xavier (basse) jouent serré, unissant ainsi toutes leurs forces.

En studio, c’est la même histoire. Enregistré « en famille » pendant 23 jours au célèbre studio Vega de Carpentras avec le réalisateur Bertrand Montandon, Nobody’s Hotter Than God est dense, compact. Après des mois à répéter dans le home studio de Thomas, le groupe était prêt : le souffle est court, les mélodies pérennes. De plus, après l’intervention fructueuse de Dave Sardy sur leur premier opus, les garçons ont tapé dans l’œil (ou plutôt l’oreille) de Tony Hoffer – connu pour ses travaux avec Depeche Mode, Beck, Suede Phoenix ou The Kooks. C’est donc avec un plaisir non dissimulé et en collaboration avec Soma que le prodigieux Américain a mixé ce deuxième album au studio Sound factory, à Los Angeles. « Nous adorions son travail, explique Lionnel. Nous sommes donc allés dans sa direction en rassemblant encore plus notre énergie grâce aux prises live, sans nous réfugier dans l’empilage de sons et les retouches à n’en plus finir ».

Le groupe fonctionne à l’instinct. « Notre but, c’est écrire de bonnes chansons, et non pas nous demander si ça rentre dans les bonnes cases, affirme Lionnel. » Soma joue le rock avec ses tripes, et la pop avec son cœur. Résultat : avec Nobody’s Hotter Than God, la mélancolie n’a jamais été aussi enjouée. De l’ouverture trépidante du bien-nommé « Henry VIII » au final, chaloupé par des guitares imposantes, de « Nobody’s Hotter Than God », et en passant par les chœurs addictifs du sémillant « Rollercoaster », les Soma alignent des tubes évidents. Et qui n’ont pas oublié de réfléchir. La poignante ballade « Mourning Cain » évoque le fratricide biblique avec une rare justesse et « Brightest Side », lui, dénonce la sournoiserie des apparences sociétales. Soma ose même un (superbe) interlude à la mandoline, « Silver Spleen », et s’aventure sur les sentiers du rock new-yorkais avec « MLK ». Les influences, elles, sont éclectiques : le riff rollingstonien du sexy « Letters to Unwrite » nous restera en tête longtemps, tandis que les échos new-wave de « Nowhere Fast », rehaussés d’une basse implacable, frappent juste. Avec ses brillantes démonstrations rythmiques et ses mélodies mémorables, Nobody’s Hotter Than God fait preuve d’un naturel déconcertant.

« Nous aimons le rock indie, affirme Lionnel, tout en aimant et revendiquant la pop classique.» Don’t believe the hype, donc. Après le succès enthousiasmant de Phoenix, le renouveau rock de la French Touch semble également assuré par Soma. « Pourtant, Lennon disait que le rock français, c’est comme le vin anglais », plaisante Thomas. Peut-être. Mais avec leur éclatant second album, les quatre garçons dans le vent s’imposent comme l’exception qui confirme la règle."


Lionnel Buzac: chant/guitare
Sébastien Claret: guitare
Thomas Bitoun: batterie
Xavier Fernandes: basse





"Un rock qui cogne, des mélodies qui transportent, "Jewel and the orchestra" est tout simplement un bijou." Batterie Magazine - 2010

[i]"SOMA a l'énergie surhumaine et les grands refrains nécessaires pour faire chavirer les stades" Les Inrockuptibles – Mars/Avril 2010

"La sauce Soma se déguste avec jubilation." Rolling Stone - 2010

"Un premier album de rock anguleux, parfois fièvreux, comme une jolie collection de chansons tout en nuances. Comme quoi l'osmose entre racines françaises et culture anglo-saxone peut s'avérer un atout." Rock One - 2010

"la quintessence d’un rock nerveux, foutraque et jouissif." Free.fr - 2010

"Le diamant musical de Soma. nul doute que tout le monde va succomber." Campus Culture - 2010
Emilie
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