Setlist L'Usine - Istres (06/10/2012)
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Setlist L'Usine - Istres (06/10/2012)
Henry VIII
Funeral Party
Nowhere Fast
The Backyard
Letters To Unwrite
MLK’s Carol
The Brightest Side
Several Days
Nobody’s Hotter Than God
20 Minutes
Get Down
RollerCoaster
Jewel And The Orchestra
Come On Eileen (Cover de Dexys Midnight Runners)
The Backyard (Acoustique au milieu du public)
Funeral Party
Nowhere Fast
The Backyard
Letters To Unwrite
MLK’s Carol
The Brightest Side
Several Days
Nobody’s Hotter Than God
20 Minutes
Get Down
RollerCoaster
Jewel And The Orchestra
Come On Eileen (Cover de Dexys Midnight Runners)
The Backyard (Acoustique au milieu du public)
ludo8751- Messages : 7
Date d'inscription : 03/02/2012
Age : 37
Localisation : Digne les Bains
Re: Setlist L'Usine - Istres (06/10/2012)
copier coller de concert en boite
"Le show commence sur des lumières bleues rasantes et une vague de mains levées. D’entrée, le son est très Rock et le bassiste ondule dangereusement pour aller à la rencontre de la batterie … Lionnel vient déjà chercher le public en devant de scène, en jouant de son micro-radio. Ils ne tiennent pas en place et en 2 minutes l’ambiance est méga hot !
«Bonsoir Istres ! Est-ce que ça va ?!!» La salle hurle pour lui répondre. Les garçons jouent les boys en faisant les chœurs. Ils sont cabotins, voir même grimaçants, avec un jeu de scène sobre, hyper efficace et un son parfait pour ses perfectionnistes amoureux de l’esthétique … La clappe ne se fait pas attendre devant le trio infernal qui se joute à la guitare.
Ils jouent sur des lumières irréelles et des jeux de guitares qui mène le tout sur un train d’enfer. C’est super puissant et vraiment encore plus Rock en Live (elle est là la belle claque qu’ils espèrent tant nous donner !!) Lionnel a le corps tendu en avant à l’extrême. Il entre littéralement dans la musique, l’œil fixé sur l’horizon … Puis vient jouer tout au bord devant les fans qui crient. Ils semblent totalement électrisés tous les trois, avec Thomas à la batterie qui garde la tête dans le guidon.
Ils se souviennent aussi … C’est la première fois qu’ils foulent cette scène en 5 ans. Et c’est maintenant, avec tous leurs potes, pour le lancement de leur nouvel album, alors qu’ils ont commencé sur la petite scène. «On veut que Istres soit la ville la plus sexy de France !! Qu’elle soit la plus fleurie, on s’en fout !!» La chaleur monte encore d’un cran et Lionnel est sur la bonne voie en tombant la veste. Ils chantent tous les 3 de face, comme 3 parallèles … Et c’est trop bon !
«Hier, on était à Alençon. Avant hier à Vannes. Le soir d’avant à Bordeaux … J’ai perdu ma valise. On a pété un ordi. Pété une guitare. Pété les bouchons d’oreille de Tom … Mais ce soir, on joue et on joue pour vous ! Alors on va faire comme si on était à Wembley. Je veux voir toutes vos petites mains istréennes !!» Je ne vous raconte même pas comment ça marche !!!
The Brightest Side commence avec un sublime riff de guitare de Sébastien … Putain qu’elle est bonne celle-ci en Live. C’est du puissance 10 ! Ils ont cette manière de jouer, comme au bord de l’épuisement, comme si la musique était leur substantifique moelle. Si ça ce n’est pas de l’échange d’amour …
«Istres, il est temps de foutre un beau bordel dans cette ville et dans cette salle !» Sans déconner, on se croirait à un concert de U2. Les hurlement sont immédiats à chaque fois qu’il s’approche. Il se met à jouer tête vers le ciel, comme ayant perdu tout repère spatio-temporel. On est ailleurs.
Leurs trois voix font la ligne de départ de Nobody’s Hotter Than God. Et puis ils se mettent à violenter leurs guitares tous les trois de concert. Un mur implacable qui semble avancer sur nous (heureusement qu’ils arrivent avec un handicap de fatigue … Sinon, qu’est-ce que ce serait ?!!) The Radio-man est reparti. On monte encore d’un cran (si, si … C’est possible !) Xavier, à la basse, fait «des choses» avec son instrument, entre léchouille et bisou … Ça devient vraiment très très chaud. Il monte de dos sur le rebord de la batterie, trempé jusqu’aux os, puis redescend proche à toucher des crash barrières.
Ils se transforment ensuite tous en batteurs. Lionnel va chercher des personnes dans le public pour foutre ce fameux bordel pour fêter dignement l’anniversaire de L’Usine (et il y en a un en particulier qui s’éclate carrément !) Certains dansent. Se prennent en photo sur la scène. Un autre frappe sur la batterie … Je confirme : C’est le gros bordel !! La salle se met à chanter « Get Down ! Get Down !» toute seule, à capella, et le tout se termine sur un quasi pogo rendu irréel par les strombis. De l’inédit !
Alors quand vient la chtite mandoline de Silver Spleen, ben ça fait tout drôle et on tape tellement bien dans nos mains, qu’ils s’arrêtent tous pour nous écouter … Mais peut-on croire en cette accalmie passagère ? Ben non, bien sûr que non ! Ça re-décolle en moins de 2 secondes, avec un Lio plié en deux sur son microphone. Impressionnant de puissance encore une fois. Et ils vont tous s’agiter comme des démons, jusqu’au moment où ils quittent la scène.
Pour le rappel, le public les prend de cours en lançant lui-même Jewel And The Orchestra, comme ça. Ils emboitent le pas sur cet improvisé, avec un peu de guitare et un soupçon de basse … Du pur délice avant le Come On Eileen (bien rock), le rappel prévu et génial.
La salle semble alors plus ou moins se rallumer … C’est déjà fini ? Oui. Non. Nooooon ! Ils reviennent au beau milieu du public avec seulement des guitares, pour rechanter The Backyard en acoustique avec leurs fans. C’est magique. Tout le monde comme cela en rond autour d’eux … Cela aura vraiment été une soirée très particulière …"
cf Ysabel Justin et Arnaud Damiani
"Le show commence sur des lumières bleues rasantes et une vague de mains levées. D’entrée, le son est très Rock et le bassiste ondule dangereusement pour aller à la rencontre de la batterie … Lionnel vient déjà chercher le public en devant de scène, en jouant de son micro-radio. Ils ne tiennent pas en place et en 2 minutes l’ambiance est méga hot !
«Bonsoir Istres ! Est-ce que ça va ?!!» La salle hurle pour lui répondre. Les garçons jouent les boys en faisant les chœurs. Ils sont cabotins, voir même grimaçants, avec un jeu de scène sobre, hyper efficace et un son parfait pour ses perfectionnistes amoureux de l’esthétique … La clappe ne se fait pas attendre devant le trio infernal qui se joute à la guitare.
Ils jouent sur des lumières irréelles et des jeux de guitares qui mène le tout sur un train d’enfer. C’est super puissant et vraiment encore plus Rock en Live (elle est là la belle claque qu’ils espèrent tant nous donner !!) Lionnel a le corps tendu en avant à l’extrême. Il entre littéralement dans la musique, l’œil fixé sur l’horizon … Puis vient jouer tout au bord devant les fans qui crient. Ils semblent totalement électrisés tous les trois, avec Thomas à la batterie qui garde la tête dans le guidon.
Ils se souviennent aussi … C’est la première fois qu’ils foulent cette scène en 5 ans. Et c’est maintenant, avec tous leurs potes, pour le lancement de leur nouvel album, alors qu’ils ont commencé sur la petite scène. «On veut que Istres soit la ville la plus sexy de France !! Qu’elle soit la plus fleurie, on s’en fout !!» La chaleur monte encore d’un cran et Lionnel est sur la bonne voie en tombant la veste. Ils chantent tous les 3 de face, comme 3 parallèles … Et c’est trop bon !
«Hier, on était à Alençon. Avant hier à Vannes. Le soir d’avant à Bordeaux … J’ai perdu ma valise. On a pété un ordi. Pété une guitare. Pété les bouchons d’oreille de Tom … Mais ce soir, on joue et on joue pour vous ! Alors on va faire comme si on était à Wembley. Je veux voir toutes vos petites mains istréennes !!» Je ne vous raconte même pas comment ça marche !!!
The Brightest Side commence avec un sublime riff de guitare de Sébastien … Putain qu’elle est bonne celle-ci en Live. C’est du puissance 10 ! Ils ont cette manière de jouer, comme au bord de l’épuisement, comme si la musique était leur substantifique moelle. Si ça ce n’est pas de l’échange d’amour …
«Istres, il est temps de foutre un beau bordel dans cette ville et dans cette salle !» Sans déconner, on se croirait à un concert de U2. Les hurlement sont immédiats à chaque fois qu’il s’approche. Il se met à jouer tête vers le ciel, comme ayant perdu tout repère spatio-temporel. On est ailleurs.
Leurs trois voix font la ligne de départ de Nobody’s Hotter Than God. Et puis ils se mettent à violenter leurs guitares tous les trois de concert. Un mur implacable qui semble avancer sur nous (heureusement qu’ils arrivent avec un handicap de fatigue … Sinon, qu’est-ce que ce serait ?!!) The Radio-man est reparti. On monte encore d’un cran (si, si … C’est possible !) Xavier, à la basse, fait «des choses» avec son instrument, entre léchouille et bisou … Ça devient vraiment très très chaud. Il monte de dos sur le rebord de la batterie, trempé jusqu’aux os, puis redescend proche à toucher des crash barrières.
Ils se transforment ensuite tous en batteurs. Lionnel va chercher des personnes dans le public pour foutre ce fameux bordel pour fêter dignement l’anniversaire de L’Usine (et il y en a un en particulier qui s’éclate carrément !) Certains dansent. Se prennent en photo sur la scène. Un autre frappe sur la batterie … Je confirme : C’est le gros bordel !! La salle se met à chanter « Get Down ! Get Down !» toute seule, à capella, et le tout se termine sur un quasi pogo rendu irréel par les strombis. De l’inédit !
Alors quand vient la chtite mandoline de Silver Spleen, ben ça fait tout drôle et on tape tellement bien dans nos mains, qu’ils s’arrêtent tous pour nous écouter … Mais peut-on croire en cette accalmie passagère ? Ben non, bien sûr que non ! Ça re-décolle en moins de 2 secondes, avec un Lio plié en deux sur son microphone. Impressionnant de puissance encore une fois. Et ils vont tous s’agiter comme des démons, jusqu’au moment où ils quittent la scène.
Pour le rappel, le public les prend de cours en lançant lui-même Jewel And The Orchestra, comme ça. Ils emboitent le pas sur cet improvisé, avec un peu de guitare et un soupçon de basse … Du pur délice avant le Come On Eileen (bien rock), le rappel prévu et génial.
La salle semble alors plus ou moins se rallumer … C’est déjà fini ? Oui. Non. Nooooon ! Ils reviennent au beau milieu du public avec seulement des guitares, pour rechanter The Backyard en acoustique avec leurs fans. C’est magique. Tout le monde comme cela en rond autour d’eux … Cela aura vraiment été une soirée très particulière …"
cf Ysabel Justin et Arnaud Damiani
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